Visite guidée
Après avoir vu tout ce que l’île avait à offrir ou presque. Je me lance dans une journée compréhension de tout ceci en prenant un tour guidé d’une journée. Ce tour se fera sous la coupelle de Jérome qui commence directement par me dégoûter en me disant qu’il a les entrées pour le parc à 10$ et non à 60$ comme j’ai pu la payer. Bon tant pis. Déjà c’est une bonne chose, nous ne sommes que 3 pour la visite : Régine et Pierre un couple de retraité et moi. C’est vraiment cool ce petit groupe on a l’impression d’être des privilégiés. En plus Jérome ne nous fait pas le tour dans le même sens que les autres agences ce qui fait que nous serons quasi tout seuls toute la journée. Et ce qu’il dit est vraiment intéressant. Nous commençons par voir une bombe volcanique. Il s’agit d’une roche volcanique qui contenait en son centre un gaz à très haute pression. En retombant, le gaz sous pression explosait comme une bombe. Aujourd’hui, le reste de la bombe sert d’abreuvoir pour les bêtes 
. Nous apprenons aussi que les yeux qu’ont certains Moais ont été ajouté pour une campagne de pub de Paris-Match. Oui oui Paris-Match à son importance sur l’île O_o. Cependant de vrais yeux ont été trouvés fait de coraux. Ce n’est donc pas que des bêtises pour la publicité. Nous apprendrons également que les archéologues pensent que les statues étaient transportées debout et non allongées pour plusieurs raisons. Ce qui impressionne encore plus quand on sait que certaines statues pèsent 90 tonnes … Enfin ce serait l’esclavagisme des Chiliens ainsi que des guerres de clans qui eurent raison de la véritable histoire de ces Moais, laissant en suspens de nombreuses questions.
La journée fut agréable en tous points. Du ciel bleu azur aux explications en passant par les agréables discussions avec Régine et Pierre. C’était parfait.
Pour finir la journée parfaitement, je suis allé à un dîner-spectacle fait de danses polynésiennes. La première partie était un peu ennuyante avec les danseurs hurlant en cacophonie puis le spectacle s’est amélioré lorsqu’ils se sont tuent pour ne laisser que le chanteur s’exprimer.